Comme en parallèle de ses quatre symphonies, le compositeur nous a aussi laissé quelques pièces orchestrales de moindre envergure, que l’on peut classer en deux catégories : les formes traditionnelles, qui sont des passages plus ou moins obligées pour nombre de compositeurs (Suite dans le style ancien, Ouverture), et celles qui s’apparentent à des poèmes symphoniques, qui ont comme point de départ des préoccupations plus personnelles (Chant funèbre, Hymne à la Justice, Hymne à Vénus).